«Je souhaite qu’une rencontre ait lieu le plus tôt possible entre le général Michel Aoun et le chef des Forces libanaises Samir Geagea. Mais je ne sais pas si le parti des FL est en mesure de se libérer des contraintes qui le lient. On sait que l’Arabie saoudite a obligé les composantes du 14 mars à suivre son mot d’ordre: «Non à Aoun». Ce veto est devenu un fait avéré et archivé».
Nabil Nicolas, député du Metn et membre du CPL
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