Enseignante opportuniste
Il est étonnant qu’une enseignante universitaire chiite accuse l’Iran d’être derrière le crime terroriste de Charlie Hebdo. Cette enseignante était en relation avec Téhéran et avait offert des services à Washington. Ce qu’elle souhaite c’est obtenir un poste quel qu’en soit le prix.
Opposants à Beyrouth
Des militants de l’opposition syrienne seront à Beyrouth dans les jours qui viennent pour entreprendre des contacts et organiser certaines activités. Financés par des sources américaines, ces individus agissent sous couvert de la société civile.
Hamas vs al-Akhbar
Le communiqué et la déclaration de Sami Abou Zahri, porte-parole du Hamas à Gaza, dans lesquels il accuse le quotidien al-Akhbar de servir les Israéliens et de saper la Résistance ont été critiqués par des sources palestiniennes qui ont relié ces agressions verbales aux divisions internes du Hamas.
Infractions à l’université
La discorde se poursuit au sein de l’administration d’une université privée au Liban. Le conflit aurait des origines financières, selon des sources qui suivent l’affaire. Elles parlent d’infractions graves dont le conseil d’administration, qui se trouve à l’étranger, ignore l’existence.
Aoun en Arabie
L’accueil chaleureux réservé au général Michel Aoun en Arabie saoudite confirme, d’après des sources politiques, qu’il est un «candidat naturel à la présidence». Il aurait déclaré: «Le Liban ne restera pas longtemps sans tête!».
Violation en trois points
Le président Fouad Siniora estime que l’opération de Chebaa constitue une violation de la 1701 en trois points: le non-respect de la suspension des agressions, la présence des armes au sud du Litani et la localisation de Chebaa en territoire syrien par les Nations unies. Ces points feront l’objet d’un communiqué qui sera publié par le Conseil de sécurité.