Mona Ezzedine
Bleu rose
Jusqu’au 14 mars, à la galerie Zamaan.
Des huiles, des pastels, des aquarelles, des collages et des gravures nous dévoilent l’univers haut en couleur de Mona Ezzedine. Les toiles sont pleines de vie et regorgent d’émotion parce que chaque objet, chose ou paysage représenté a son histoire propre. Ses toiles sont joyeuses et pleines de charme. Mona Ezzedine peint d’un trait sûr, elle se distingue par sa personnalité énergique et son caractère. Son style est unique et sa palette originale. Une exposition qui vaut bien le détour.
C.T.D.
Anthony Russell
Maridadi
Jusqu’au 15 mars, à la galerie Les Plumes.
Maridadi signifie beau en swahili, la langue officielle du Kenya, et cette exposition, comme son nom l’indique, est belle. Elle puise son inspiration en Afrique et dans la culture Masai. Anthony Russell est né au Kenya et a grandi entre son pays natal et le Royaume-Uni. Il est artiste, designer, musicien, philanthrope et défenseur de l’environnement, avec une passion pour les lions et la culture Masai. Eh oui tout ça! Fils d’un célèbre chasseur et opérateur de safari kényan, Russell a puisé son expérience dans le désert africain. Il connaît parfaitement la culture tribale et jouit d’un esprit rebelle et artistique pour créer certains des camps les plus souhaitables et éco-safari de luxe en Afrique. Par ailleurs, Anthony a participé à plusieurs expositions internationales et a travaillé avec les fondations comme la Fondation Ford, l’Onu et les programmes de la biodiversité de l’Union européenne.
C.T.D.
Agenda
Didier L’Honorey. Happy flowers.
Jusqu’au 27 mars, à la galerie Alice Mogabgab.
Unfinished Conversations.
Jusqu’au 2 mai, au Beirut Art Center.
Anna Boghighian. I heard of myths but I understood I have to free myself from it but how, when and where.
Jusqu’au 7 mars, à la galerie Sfeir-Semler
Youssef Basbous. The age of Wood.
Jusqu’au 30 avril, à la galerie Macam.
Pop-up store: Effys.
Jusqu’au 31 mars, aux Souks de Beyrouth.
Edouard Elias. Exils syriens.
Jusqu’au 7 mars, à l’Institut français de Deir el-Qamar.
Fouad el-Khoury. Suite égyptienne.
Jusqu’au 6 mars, à la galerie Tanit.