Présidentielle: la solution chez le Hezbollah
Après divers contacts effectués par plus d’une capitale européenne avec Téhéran, l’Union européenne a acquis la certitude que le règlement de la crise présidentielle au Liban ne se trouve pas en Iran, mais chez le Hezbollah. Les autorités iraniennes n’ont pas cessé, et à maintes reprises, de claironner qu’elles appuieraient les décisions de la Résistance au Pays du Cèdre.
Contacts syro-européens
Selon un diplomate européen à Beyrouth, des contacts ont eu lieu entre responsables européens et syriens. Les Européens ont souhaité établir une coopération sécuritaire avec Damas pour lutter contre le terrorisme via l’échange d’informations ou la surveillance des mouvements des jihadistes en provenance des pays européens. La réponse de Damas: oui à la coopération, mais dans le cadre du renouement des relations diplomatiques.
Le Futur joue Karamé contre Mikati
La relation entre le Moustaqbal et l’ancien ministre Fayçal Karamé s’est nettement améliorée après la rencontre du leader tripolitain avec Saad Hariri en Arabie saoudite. Une source du Futur explique: «Nous ne souhaitons pas conclure une alliance avec Karamé, mais nous ne voulons pas le voir s’allier au président Najib Mikati». Ce dernier étant le concurrent numéro un le plus sérieux.