«Normalement, on fait face au danger en consolidant l’unité nationale et la stabilité, mais les forces du 14 mars, qui ont facilité l’arrivée des takfiristes, se sont employées, plutôt que de renforcer l’unité nationale, à provoquer des crises et à essayer de changer la donne. Le 14 mars agit ainsi pour affaiblir le Liban qui fait front aux bandes takfiristes».
Le vice-président du conseil exécutif du Hezbollah, le cheikh Nabil Qaouk
Sans commentaire