Magazine Le Mensuel

Nº 3015 du vendredi 21 août 2015

Télévision

Semaine du 21 au 27 août

Boule et Bill
Dimanche 23 à 21h40, TF1

d’Alexandre Charlot et Franck Magnier
Franck Dubosc, Marina Foïs, Charles Crombez et Mateo Beutels
Dans les années 70, Boule, 9 ans, rêve d’avoir un chien, ce que lui refuse catégoriquement son père. A force d’insister, Boule et sa mère finissent par le convaincre de les emmener visiter le refuge de la Spa locale. Là, dans une cage, Boule remarque un jeune cocker, roux comme lui. Malgré les réticences de son père, le chien est adopté et l’enfant s’empresse de le baptiser Bill. Le nouveau venu va bouleverser la vie tranquille de la famille et mettre la maison sens dessus dessous, mais aussi se rendre indispensable. L’amitié indéfectible qui naît entre Boule et Bill les aidera à surmonter toutes les épreuves et les amener à vivre de nombreuses aventures… (100’, 2012)

Dépression et des potes
Dimanche 23 à 21h55, F2

d’Arnaud Lemort
Fred Testot, Jonathan Lambert, Arié Elmaleh et Laurence Arné
L’existence de Franck en rendrait plus d’un envieux: un travail motivant, un bel appartement à Paris et une fiancée brésilienne ravissante. Pourtant, force est de reconnaître que Franck n’a plus goût à rien. Ses vacances à l’île Maurice lui paraissent sans intérêt. Sur une plage de rêve, il se surprend à déprimer. De retour en métropole, le jeune homme consulte son médecin. Celui-ci se montre catégorique: Franck traverse une sérieuse dépression. En compagnie de ses amis de jeunesse, il essaie de remonter la pente. Lorsqu’il leur annonce qu’il est dépressif, chacun tente de lui venir en aide. Mais Franck constate très vite que le moral de ses vieux potes n’est pas au beau fixe… (95’, 2012)

Voyage au bout de l’enfer
Dimanche 23 à 21h50, Arte

de Michael Cimino
Robert De Niro, John Cazale, John Savage, Christopher Walken et Meryl Streep
Michael, Nick et Steven, trois Américains d’origine russe, sont inséparables. Lorsqu’ils ne risquent pas quotidiennement leur vie, dans les hauts-fourneaux des aciéries de leur petite cité industrielle de Pennsylvanie, ils chassent le daim dans les montagnes alentour ou célèbrent leur amitié à la vodka dans le bar de leur copain John. Quant à la politique, ils s’en moquent éperdument. Mais nous sommes en 1968 et ces trois-là sont appelés à faire leur paquetage pour défendre les couleurs américaines au Viêtnam. Auparavant, Steven se hâte d’épouser la femme de sa vie, Angela. Nick, lui, reçoit la promesse de Linda qu’elle l’attendra jusqu’à son retour. Le mariage, célébré en l’église orthodoxe de la communauté russe, est l’occasion d’une grande et longue fête… (175’, 1978)
 
Pauline détective
Mardi 25 à 21h50, F3

de Marc Fitoussi
Sandrine Kiberlain, Audrey Lamy, Claudio Santamaria et Antoine Chappey
Pauline, la quarantaine, travaille comme maquettiste dans une revue qui consacre ses pages aux enquêtes criminelles les plus sordides. Epanouie dans son activité professionnelle comme dans sa vie privée, elle se sent en sécurité. Lorsque son compagnon la quitte à la veille des grandes vacances, elle s’effondre. Pour lui remonter le moral, sa sœur et son beau-frère l’emmènent dans un palace au soleil. Mais voilà, Pauline s’ennuie, et plutôt que de profiter du luxe ambiant, elle se convainc qu’un crime a été commis au sein de l’établissement. L’apprentie détective se lance aussitôt dans une enquête frénétique… (100’, 2012)

 

 

 

La vérité si je mens!
Mardi 25 à 21h55, M6

de Thomas Gilou  
Richard Anconina, Amira Casar, Vincent Elbaz, Elie Kakou et José Garcia
Jeune homme sans famille, ni ressources, Edouard Vuibert cherche désespérément un moyen de régler sa chambre d’hôtel pour s’éviter de coucher dans la rue. C’est alors qu’une altercation avec deux joueurs de bonneteau, aussi violents que malhonnêtes, l’amène à faire la connaissance de Victor Benzakem, prospère grossiste en tissus dans le quartier du Sentier. Benzakem, le croyant juif, l’engage comme manutentionnaire. L’un des vendeurs, Dov Mimran, qui l’a pris en sympathie, l’intègre de suite à sa bande en raison notamment de sa connaissance de la langue anglaise. Edouard, qui se fait maintenant appeler Eddie, a tôt fait de s’initier aux ficelles du métier… (110’, 1997)

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