«Les FL ne valideront pas aujourd’hui, dans le cadre de ce qu’on désigne par ‘‘compromis politique’’, ce qu’elles n’avaient pas accepté du temps de l’hégémonie syrienne. Nous n’offrirons pas à Bachar el-Assad un président de l’amitié duquel il se vante, et nous ne commenterons pas une candidature qui n’a pas encore été officialisée».
Wehbé Katicha, conseiller du chef des Forces libanaises
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