Compétitivité mondiale, environnement des affaires, transparence dans la gestion du domaine public ou du secteur privé, perception de la corruption ou encore niveau du risque-pays, le Liban se retrouve parmi les derniers de la classe dans pratiquement tous les classements mondiaux. Que signifient vraiment ces résultats? Le pays doit-il s’inquiéter de ce recul dans la plupart des indicateurs? Cela présage-t-il d’un effondrement total, d’une faillite généralisée? Peut-il encore se relever?