«Rien n’entrave théoriquement la séance électorale du 8 février. Si elle ne se tient pas, cela signifiera que la décision de bloquer la présidentielle est maintenue. Même s’il ne fait pas de doute que le général Michel Aoun est le candidat officiel du Hezbollah, l’appui officiel diffère de l’acharnement effectif en faveur de cette candidature».
Sejaan Azzi, ministre du Travail
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