Le Liban au Sommet islamique
Le sommet islamique, prévu à la mi-avril à Istanbul, sera le théâtre de la première rencontre entre le roi saoudien, Salmane Ben Abdel-Aziz, et le Premier ministre libanais Tammam Salam, après la dégradation des relations entre Riyad et Beyrouth. Dégradation qui a suivi les positions adoptées par la diplomatie libanaise aux congrès du Caire et de Jeddah et le classement du Hezbollah parmi les organisations terroristes.
Rifi attend le verdict
Le ministre démissionnaire de la Justice, Achraf Rifi, pourrait faire marche arrière si la sentence de la Cour de cassation militaire est à la mesure des graves accusations portées contre l’ex-ministre Michel Samaha. C’est la raison pour laquelle le Premier ministre, Tammam Salam, a laissé la démission du ministre de la Justice en suspens.
Le Hezbollah, un partenaire
Le président Amine Gemayel refuse que le Hezbollah soit taxé de «terroriste», rapporte-t-on de source informée. «Le parti chiite est notre partenaire dans le gouvernement. Lorsque la débâcle syrienne prendra fin, le Hezbollah rentrera au Liban et nous parviendrons, avec lui, à des réformes qui pourront satisfaire les besoins de toutes les composantes du tissu national».