Magazine Le Mensuel

Nº 3062 du vendredi 15 juillet 2016

En coulisse

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Selon une source du 14 mars, «le Liban n’aura pas un chef d’Etat avant que l’Iran ne s’assure de la direction que prendra la solution en Syrie. Le maintien du président Bachar el-Assad au pouvoir est la préoccupation première et unique de Téhéran et (…) il dispose d’un candidat libanais à la présidence. L’autre choix, qui émanerait d’un consensus international, équivaudra à une défaite pour l’Iran qui aura aussi droit à son candidat au Liban, en guise de compensation»… Comme les candidats en lice, Michel Aoun et Sleiman Frangié, sont les instruments du blocage présidentiel, Téhéran et le Hezb parraineront une «autre personnalité apparemment consensuelle, mais qui leur est implicitement acquise». «Si jamais le scrutin présidentiel a lieu, il coïncidera avec le retour du Hezb de Syrie. L’heureux élu à la présidence aura pour mission de gérer les incidences de ce retour triomphant, comme le présentera la formation chiite, et de ce tournant annonciateur d’un changement interne intégrant les exploits (!?) du Hezb en Syrie».

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