Bahreïn
1er en e-gouvernement
Selon une enquête menée par les Nations unies sur l’indice E-Government, Bahreïn a obtenu le meilleur score de 0,7734 point en 2016 parmi les pays de la région Proche-Orient et d’Afrique du Nord dont la moyenne a été de 0,4735. C’est le Yémen qui s’est retrouvé au bas de l’échelle, avec un score de 0,2248. L’indice de référence créé par les Nations unies mesure le développement du gouvernement électronique entre les pays membres de l’Onu, le degré d’opérabilité du système et le flux de données mises à la disposition des utilisateurs par le gouvernement. Il comprend la moyenne pondérée de trois sous-indicateurs, à savoir l’infrastructure des télécoms, les ressources humaines qualifiées et les services mis en ligne.
Le Caire
Hausse des loyers
L’instabilité et la dévaluation de la livre égyptienne ont continué d’avoir des retombées diverses sur les différents secteurs de l’immobilier au Caire au 2e trimestre de 2016, d’après le rapport du consultant Jones Lang LaSalle (JLL). Les objectifs de la Banque centrale égyptienne de la dévaluation de la monnaie nationale étaient la création d’un climat de stabilité économique, l’attraction d’investissements étrangers et la restauration de la confiance dans le système bancaire. Le marché des espaces bureaux a enregistré une hausse de la demande sur les bureaux situés dans des emplacements de premier choix, cette demande étant tirée principalement par une relocalisation d’anciens locataires dans des quartiers privilégiés géographiquement et la qualité de la construction des bureaux. Dans le même temps, le nombre des nouveaux entrants sur le marché de la location des bureaux est resté stable. L’est et le centre du Caire ont été les seules régions à avoir accusé au 2e trimestre, sur un an, une hausse des loyers. Quatre mois après une dévaluation de 14,5% de la monnaie égyptienne et l’impossibilité des locataires de se pourvoir en dollars, les propriétaires immobiliers ont été contraints d’accepter d’être payés en livres égyptiennes.