50 pays
Le pouvoir du passeport libanais
Le passeport libanais permet à son détenteur de bénéficier d’une entrée dans 50 pays moyennant un visa gratuit. Parmi les 50 destinations figurent 16 pays accessibles sans visa et 34 autres exigeant un visa gratuit octroyé à leur arrivée aux postes-frontières. Le passeport national permettait d’accéder à 44 pays, contre 38 en 2017. Ainsi le Liban s’est classé à la 182ème position mondiale en termes de l’indice du pouvoir du passeport individuel. A un niveau régional, il se positionne notamment derrière les Emirats arabes unis et le Koweït.
Privatisation
la solution pour les télécoms
Le ministre des Télécoms, Mohamed Choucair, s’est dit «persuadé de la nécessité de privatiser le secteur des télécoms, compte tenu des expériences réussies ayant eu lieu dans 138 pays dans le monde». «La vente du secteur ne signifierait nullement un arrêt des profits de l’Etat, a-t-il soutenu. Au contraire, le Trésor pourrait gagner davantage des taxes imposées aux sociétés privées.»
286,6 tonnes
Le Liban se classe parmi les 20 premiers pays au monde en termes de détention de lingots d’or. Le pays du Cèdre possède 286,6 tonnes d’or, soit 10 116 572 onces, d’une valeur de 13 milliards $, soit 38% de la dette principale en devises étrangères du gouvernement libanais qui s’était élevée à près de 33,5 milliards $ en 2018.
596 millions $
Le secteur des entrepreneurs de travaux publics serait menacé d’effondrement. Les arriérés et les nouveaux montants dus par l’Etat aux agents de ce secteur auraient atteint 596 millions $. Cette somme est répartie comme suit: 256 millions $ représentent les créances arrivées à échéance et approuvées pour encaissement, et 300 millions $ représentant des dus pouvant être échelonnés sur une durée de trois ans ou payés aux entrepreneurs sous forme de bons du Trésor.
60 milliards $ aux mains de la diaspora
La diaspora libanaise détiendrait près de 60 milliards $ dans les banques étrangères mais elle renonce à faire des transferts vers le Liban. Néanmoins, les Libanais installés à l’étranger avaient effectué des transferts vers les banques libanaises d′un montant de 24 milliards $ durant la crise financière internationale en 2008. Pour rappel, depuis 2016, les transferts sont en constant recul.