Une instance politique stigmatise les milieux bancaires qui ne se sentent pas concernés par la question de l’armement de la troupe. Si ces milieux avaient acheté 20 appareils Cessna, comme celui offert par l’homme d’affaires, Georges Najjar, cela ne leur aurait coûté que 0,01% de leurs bénéfices annuels, a conclu l’instance.