Magazine Le Mensuel

Editorial

Etat de barbarie

En brûlant vif le pilote jordanien Moaz el-Kassasbeh et en mettant en ligne la vidéo de son assassinat, digne des meilleures productions hollywoodiennes, l’organisation de

Pris entre deux feux

On s’y attendait, sans trop vouloir y croire. L’attaque israélienne sur Qoneitra ne pouvait pas passer sans conséquence. Le Hezbollah, qui a payé un lourd

La riposte du Hezbollah

Le raid aérien israélien de Qoneitra est un développement inhabituel qui vient briser la routine macabre de la guerre syrienne. Il peut être classé dans

Etat comateux

L’horrible carnage qu’a connu Paris, dans les bureaux de Charlie Hebdo, a soudé la France et créé autour d’elle une solidarité internationale. Que l’on soit

2015: le devoir d’optimisme

L’année 2014 s’achève sur de dramatiques catastrophes dans le monde: crash d’avions, incendie de ferry, inondations et désastres de tous genres… et au Liban sur

Paradoxes libanais

Le Liban est divisé sans être partagé, uni sans véritable unité. La vie y est belle sans pour autant être facile ou prospère. Il est

Le sursaut des mollassons

Avec la mort de Sabah, de Saïd Akl et de Nahawand, disparaît une partie de l’histoire et du patrimoine, qui ont fait la gloire du

Vous avez dit dialogue?

Ceux qui ont connu la guerre dans les années quatre-vingt ne peuvent oublier cette image symbolique du grand poète, écrivain et nationaliste, à la crinière

Le gâchis d’un Grand Liban

Un adage libanais dit «leurs paroles te réjouissent, leurs actes te désolent». Il s’applique hélas à beaucoup de nos politiciens et analystes, qui, dans une

Videurs professionnels

Le vide n’est plus l’apanage de la première magistrature de l’Etat. Il est dans nos robinets, dans nos câbles électriques, dans nos administrations publiques, souvent

La contagion du vide

Depuis la fin de la guerre, en 1990, aucun mandat présidentiel ne s’est achevé normalement. Ceux d’Elias Hraoui et d’Emile Lahoud ont été prorogés de

L’impardonnable léthargie

Les divisions communautaires ne sont pas le seul mal qui frappe la société libanaise. Elles sont, de plus en plus, doublées par les fractures sociales

Des lois sur mesure

Dans un pays, berceau de la première faculté de droit de la région, fondée en 1875, les lois élaborées par le gouvernement et votées par

Un président choisi ailleurs

Que des reporters arpentent les couloirs du Parlement, à l’affût d’une information pour alimenter un article ou garnir un compte rendu, est normal. Mais que

L’Etat en faillite!

Comme par magie, les portes de la Place de l’Etoile se sont ouvertes devant des parlementaires privés, depuis belle lurette, de leurs fauteuils sous la

Bric-à-brac… Et après

Après des mois de paralysie, due au blocage politique, les institutions recommencent à fonctionner. Certes, le nouveau départ est lent, cahoteux et bruyant, mais les

Un monde décadent

Triste spectacle que celui qu’offraient les Arabes réunis au Koweït. Alors que la région bouillonne et que le monde, même occidental, souffre d’une crise économique

S.O.S. Liban!

Chaque jour apporte son lot d’explosifs, de morts, de blessés et de dégâts que provoquent les véhicules de la mort. Les Libanais vivent dans l’angoisse

Un gros bouton sur le nez

Le gribouillis d’un enfant est encore plus compréhensible que le tableau qui nous est offert par la classe politique libanaise. Le griffonnage d’un gamin répond,

Pourquoi il n’y a pas de guerre

Toujours en retard d’une note dans la lecture des développements, de nombreux politiciens locaux ont tardé à saisir les intentions des grandes puissances concernant le

Le Pacte, encore et toujours

C’est une profession de foi en un Liban uni, pluraliste, moderne, libre, indépendant, souverain, ouvert et tolérant, à laquelle s’est livré le patriarche maronite, Mgr

Chèque en blanc mais en bois

Le Liban, porte du Moyen-Orient, jadis modèle de démocratie envié non seulement de ses voisins, mais par de nombreuses autres populations de la région qui

La conférence de Babel

Les discours du ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Moallem, et du chef de la Coalition nationale syrienne (CNS), Ahmad el-Jarba, lors de l’ouverture de

Le déni des réalités

Si elle n’était pas aussi dramatique, la situation serait, dans le meilleur des cas, ridicule. On ne peut, certes pas dire drôle, malgré la parodie

Les scissions ont la dent dure

Que peut-on encore dire, ou écrire, sans se répéter lorsque les drames se suivent, se ressemblent, et frappent, encore et encore, les Libanais au cœur