Charles Khoury. L’homme insecte
Jusqu’au 28 mars, à la galerie Janine Rubeiz.
Charles Khoury présente une installation murale de sculptures et une série de peintures. Les œuvres portent sur la figure de «l’homme insecte», personnage qu’il a développé dans les années 90. L’idée est de créer un être humain déshumanisé, au comportement animal. Il a eu cette idée en vivant l’agitation, l’agressivité et le brouhaha des Libanais pendant la guerre qui a dévasté le pays. L’exposition révèle le parcours de cet homme insecte, depuis la représentation graphique, au stade de figure imaginaire jusqu’à la réalisation de la toile en couleurs.
Charles Khoury est né en 1966. Il est diplômé en Lithographie de l’Académie libanaise des beaux-arts. Il est membre de l’Association internationale des beaux-arts de l’Unesco à Paris. Depuis 1989, il participe à de nombreuses expositions personnelles et collectives en Côte-d’Ivoire, Syrie, Egypte, Koweït, Dubaï, Abou Dhabi, Bangladesh, Royaume-Uni et en France. Il a été lauréat du prix du Salon d’automne du Musée Sursock en 2008. Une exposition intéressante! Christiane Tager Deslandes.
Jawdat Khan. Echos… sur toiles
Jusqu’au 24 mars, à la galerie Zamaan.
Voilà des toiles tout en musique! Le peintre et compositeur Jawdat Khan présente des toiles aérées aux couleurs fraîches et variées. A chaque coup de pinceau, il allie une note de musique. Le résultat est surprenant.
A travers ses toiles, il nous fait vivre une immersion dans le temps à Beyrouth. A noter que lors du vernissage, l’artiste aux multiples talents à jouer du luth. C.T.D.
Agenda
Marwan Rechmawi. Landscapes. Peintures.
Jusqu’au 24 mars, à la galerie Sfeir-Semler.
Fatima El Hajj. Peintures.
Jusqu’au 22 mars, à la galerie Alwane.
Joana Hadjithomas et Khalil Joreige.
How soon is now, a tribute to dreamers.
Jusqu’au 20 avril, au Beirut Exhibition Center.
Sarah Badr Shmidt. Borderless. Peintures.
Jusqu’au 31 mars, à la galerie Agial.
Hoda Kassatly. Fastes et dévastations.
Jusqu’au 17 mars, à la galerie Alice Mogabgab.
Alfred Tarazi. The oath.
Jusqu’au 25 avril, à la galerie The running horse.