Suite à l’arrestation de l’ex-ministre, Michel Samaha, et à l’hommage rendu aux FSI par le président Michel Sleiman qui recevait le duo Rifi-Hassan, les alliés politiques de la Syrie au Liban auraient reçu des instructions pour mener une campagne de dénigrement des présidents de la République, du Conseil, de la coalition du 14 mars et du président Saad Hariri dans le but d’exercer des pressions pour la libération de Samaha transféré devant le tribunal militaire. C’est dans ce cadre que s’inscrivent les attaques contre le pouvoir formulées par le député Sleiman Frangié, et l’ex-ministre Wiam Wahhab et d’autres… Certains organes de presse ont même alimenté cette campagne qui se poursuit, parce que les autorités syriennes ont été choquées par la position libanaise sur le dossier Samaha et par les infiltrations des données de l’enquête aux médias afin d’amener l’opinion publique à soutenir les dispositions prises dans cette sombre affaire.