«Dans les discours politiques et médiatiques, la loi des années 60 est bien morte, c’est un simple avis politique non constitutionnel. Celui qui ne veut pas de cette loi n’a qu’à s’en prendre à elle, non au président de la République qui n’avance que des positions constitutionnelles».
Khalil Hraoui, ancien député, conseiller de Michel Sleiman
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