Boutros Labaki, économiste chevronné, souligne que le déficit budgétaire aurait dû gonfler sans l’augmentation annuelle de l’afflux d’argent sur le régime bancaire libanais pour des raisons peu claires: est-ce qu’il s’agit de capitaux fuyant la Syrie ou destinés à renflouer l’opposition syrienne?