«Quoi qu’il arrive, il n’y aura pas une ‘‘irakisation’’ du Liban en dépit
des incitations et des sommes d’argent suspectes dépensées à cette fin.
Mais il n’y aura point de salut avant que nous nous libérions nous-mêmes
du suivisme qui nous a détruits et détruit le Liban depuis l’adoption de la
résolution 1559».
Talal Arslan, député de Aley et chef du Parti démocratique libanais
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