«Tout le monde aujourd’hui est persuadé qu’au Liban nul ne peut refuser le dialogue. Jusqu’ici, le Hezbollah et le général Michel Aoun nous traitaient en adversaires, voire en ennemis. Ils ont, à présent, réalisé qu’ils étaient
allés trop loin».
Nabil de Freige, ministre d’Etat pour la Réforme administrative
Sans commentaire