Didier L’Honorey
Happy flowers
Jusqu’au 27 mars, à la galerie Alice Mogabgab.
Didier L’Honorey présente vingt-quatre de ses récentes œuvres. Des toiles où la couleur règne en maîtresse absolue. Une émotion certaine s’en dégage! Né en France en 1957, Didier L’Honorey vit et travaille entre Paris et la Normandie. Il raconte: «C’est par le plus grand des hasards que j’ai découvert l’existence de Picasso. Je devais avoir entre dix et onze ans et nous venions d’avoir une télévision à la maison. Je suis tombé sur une émission qui présentait l’œuvre du peintre: ce fut un choc!». A 18 ans, il franchit le pas et décide de devenir peintre, il dessine des visages, puis les arbres et les fleurs. Il expose pour la première fois en 1989 et peint depuis cette année-là des fleurs. Sa première exposition personnelle a lieu en 1989 à Clamart, au Musée Albert Chanot. (Editions du Regard).
C.T.D.
Exposition collective
Unfinished Conversations
Jusqu’au 2 mai, au Beirut Art Center.
Unfinished Conversations est une exposition de films et de vidéos qui rassemble l’Anglais John Akomfrah, la Franco-Algérienne Zineb Sedira et la Sud-Africaine Penny Siopis. Les travaux des trois artistes génèrent un sentiment d’instabilité illustrant les différentes définitions de l’identité. The Unfinished Conversations est une installation vidéo sur trois écrans, réalisée par John Akomfrah à partir des écrits de Hall et avec lui. Mother Tongue (2002), de Zineb Sedira, traite de la question de la langue «maternelle» et de celle du déplacement géographique et culturel. Elle filme sa mère, sa fille, et elle, chacune parlant la langue du pays où elle a grandi. Les films de Penny Siopis, My Lovely Day, The Master is drowning, Communion et Obscure White Messenger exposent un discours impossible ou un propos jamais tenu, en donnant la parole à des figures paradoxales de l’histoire de l’apartheid.
C.T.D
Agenda
Huguette Caland. Bronzes.
Jusqu’au 28 février, à la galerie Janine Rubeiz
I heard of myths but I understood I have to free myself from it but how, when and where, Anna Boghighian.
Jusqu’au 7 mars, à la galerie Sfeir-Semler.
The age of wood, Youssef Basbous.
Jusqu’au 30 avril, à la galerie Macam.
Trans-Oriental Monochrome, John Carswell.
Jusqu’au 25 février, AUB à la Byblos Bank Art Gallery.
Pop-up store: Effys.
Jusqu’au 31 mars, aux Souks de Beyrouth.
Compositions.
Jusqu’au 28 février, au Metropolitan Art Society.
Exils syriens, Edouard Elias.
Jusqu’au 7 mars, à l’Institut français de Deir el-Qamar.
Suite égyptienne. Fouad el-Khoury.
Jusqu’au 6 mars, à la galerie Tanit.