Magazine Le Mensuel

Nº 3074 du vendredi 3 février 2017

Du côté des banques

News côté des banques

ABL
Amendement du taux de référence

L’Association des banques au Liban (ABL) a recommandé à ses membres de relever le Beirut Reference Rate (BBR) à 6,59% en février, alors que ce taux était de 6,54% en janvier. Le taux, qui représente le taux de référence débiteur en devises étrangères, a remplacé le Libor en 2009. La BDL avait considéré que le Libor ne reflétait pas le coût de financement des prêts au Liban. Parallèlement, l’ABL a préconisé à ses membres de relever le BBR sur les prêts en livres à 8,65% en février, alors que ce taux était de 8,63% en janvier. La BDL a estimé que le BBR ne remplace pas le Beirut Prime Lending Rate (le taux de base privilégiés des prêts) en dollars et en livres mais il constitue la base de calcul du taux débiteur privilégié des banques (Prime Rate), après avoir ajouté à ce taux, le coût des liquidités et le refinancement, celui du risque crédit et des profits des banques.

Byblos Bank
Le cinéma italien s’expose

Byblos Bank, partenaire principal de Photomed Liban, a accueilli à son siège central de Achrafié, une exposition collective de photos, intitulée Le cinéma italien, par les Français Richard Dumas et Alain Fleischer ainsi que l’Italien  Sergio Strizzi. Cette exposition comporte 57 clichés uniques représentant l’âge d’or du cinéma italien à travers le regard de photographes de renommée mondiale. Ces images illustrent les tournages de plusieurs grands films, avec des photos de coulisses rarement dévoilées. Dans un mot de circonstance, Nada Tawil, directrice du département de Communication du groupe Byblos Bank, a souligné que la Byblos Bank est le partenaire principal de Photomed Liban pour la quatrième année consécutive, ajoutant que «cette collaboration est le fruit d’une vision commune de l’avenir de la photographie au Liban et le développement des talents libanais.» Pour sa part, Philippe Heullant, co-fondateur et président de Photomed a déclaré: «Ces photographies documentent l’histoire du cinéma italien, qui est une partie essentielle de l’industrie du 7e art à travers le monde. Ces travaux contribuent à construire un discours positif sur la région méditerranéenne.»

Fransabank
La presse à l’honneur

Le président du groupe Fransabank, Adnan Kassar, a donné un déjeuner en l’honneur des médias et des représentants de la presse libanaise, à l’hôtel Intercontinental Phoenicia. Dans son discours, M. Kassar a souligné le rôle essentiel qu’elle joue «dans la société civile et démocratique afin de promouvoir l’éducation et la prise de conscience, d’informer et de mettre en évidence les étapes critiques  auxquelles le Liban est souvent confronté.» Il a exprimé sa compassion face aux difficultés des médias libanais, «en particulier après la fermeture de l’un des journaux les plus prestigieux, en début d’année».

Blom Bank
Banque de l’Année pour Visa International

Blom Bank a été désignée Banque de l’Année 2016 par Visa. Le prix a été remis au Pdg, Saad Azhari, par le directeur général de Visa pour la région Mena, Ihab Ayoub. La cérémonie a eu lieu au siège de Blom Bank, à Verdun, en présence de Nabil Tabbarra, directeur régional Levant de Visa, Ramzi Saboury, directeur de Visa pour le Liban et l’Irak, d’Elias Aractingi, directeur général et de Jocelyne Chahwan, assistante du directeur général. Blom Bank a reçu cette distinction en reconnaissance des produits et services innovateurs proposés à sa clientèle et associés à une performance solide.

BDL
modification des conditions d’octroi de prêt

Avec la circulaire intermédiaire no448 du 7 janvier, la BDL a demandé aux banques opérant au Liban de s’assurer que le montant total des prêts en devises étrangères octroyés par leurs branches à l’étranger ou leurs filiales, tout comme les investissements faits dans les obligations souveraines ou non souveraines émises par le pays-hôte, dans une monnaie autre que locale, n’excèdent pas 60% des dépôts dans leur branche à l’étranger ou leur filiale. Elles doivent s’y conformer d’ici au 31 mars. Celles qui ont dépassé la limite de 60%, devraient déduire l’excédentaire de leurs actifs nets liquides en devises étrangères de leur banque mère, en attendant de régulariser leur situation.   

Liliane Mokbel

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