Avec des cursus universitaires innovants et d’actualité, l’Université libano-canadienne (LCU) vise à développer chez ses étudiants des compétences académiques, culturelles et sociales.
Comportant quatre facultés, dont la Faculté de gestion, la Faculté de génie, la Faculté des lettres et sciences humaines et la Faculté des sciences et des arts, la LCU propose des formations diversifiées, un accompagnement personnalisé, des modes pédagogiques innovants, une vie culturelle et sportive, un centre sportif… le tout dans le but d’assurer à l’étudiant une atmosphère agréable.
Avec la mise en place d’un cursus de gestion hôtelière et touristique, en collaboration avec l’Ecole hôtelière de Genève (EHG), à la suite d’un protocole de collaboration, plusieurs autres formations sont mises à la disponibilité des étudiants telles que la gestion des événements, la biologie de reproduction, l’urbanisme, les sciences de l’environnement, les études stratégiques et diplomatiques, génie en biotechnologie, génie en topographie, etc.
Etude du marché libanais et international
«Avant de démarrer une nouvelle spécialité, l’Université libano-canadienne effectue des études de marché pour détecter les besoins en termes de métiers, afin de cibler la spécialité adaptée à ces besoins», assure le président de l’université, Rony Abi Nakhlé.
Ces études de marché sont effectuées à la suite de réunions avec les organisations concernées comme les banques, les compagnies d’assurances, les hôpitaux, les entreprises industrielles, les entreprises de restauration, les ministères concernés, les syndicats… Plus encore, et dans le but de mieux répondre aux besoins des marchés arabes et internationaux, la LCU collabore avec plusieurs établissements d’enseignement supérieur à l’étranger, tels l’Université Jean-Monnet, l’Université de Bordeaux, Ipac, le Centre d’études stratégiques et diplomatiques, l’Ecole hôtelière de Genève… L’objectif principal: donner l’opportunité aux étudiants de l’université d’intégrer le marché international de travail et de favoriser leur insertion professionnelle selon leurs objectifs individuels.
Faciliter la vie de l’étudiant
Abi Nakhlé explique que la LCU assure des horaires d’enseignement flexibles pour permettre aux étudiants de poursuivre leurs études et de travailler en même temps. Proposant des frais de scolarité abordables et des aides financières à la portée de tous, la LCU organise des séminaires et des conférences et incite les étudiants à y participer. Dans le même ordre d’idées, des stages dans les entreprises industrielles, les compagnies d’assurances, le secteur bancaire, le secteur agroalimentaire, les laboratoires, les bureaux de topographie et d’architecture et ceux de traduction sont intégrés dans les différents cursus.
«L’objectif de ces activités est de participer directement au développement de la société libanaise et à la sensibilisation des étudiants», confie le président. «La LCU veille que les cours théoriques soient, d’un côté, couronnés par des travaux pratiques au sein des laboratoires, tels que le laboratoire de biologie de reproduction, les laboratoires de topographie, les laboratoires d’informatique, les ateliers d’architecture d’intérieur et de graphic design», poursuit-il.
La vie associative à la LCU fait aussi partie de ses préoccupations. Des clubs sportifs et sociaux ont été fondés pour que les étudiants échangent entre eux et intègrent la société dans des bonnes conditions.
Bachelor en études stratégiques et diplomatiques
En 2007, la LCU lance un nouveau Bachelor en études stratégiques et diplomatiques destiné aussi aux officiers de l’Armée libanaise. Cette formation qui constitue l’équivalent de la licence militaire se distingue de cette dernière du fait de son caractère universitaire. Elle offre dans ce sens un large spectre d’étude et de recherche sur les questions touchant les enjeux géostratégiques et diplomatiques modernes, ainsi qu’un lieu d’échange entre experts nationaux et internationaux sur les questions qui touchent la sécurité mondiale. Les débouchés sont multiples. Ainsi, l’étudiant sera-t-il capable de se faire une carrière en tant qu’analyste politique, diplomate, attaché diplomatique, conseiller politique et stratégique, et chargé de projet de collaboration au niveau international.
Natasha Metni