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Nº 3080 du vendredi 4 août 2017

Outre mer

Nijad Farès. Investisseur multigénérationnel

Nijad Farès, fils du milliardaire libanais et ancien vice-président du Conseil des ministres, Issam Farès, vit à Houston avec son épouse Zeina et ses quatre enfants. Il est le Pdg de Link Group LLC et Wedge Equities LLC ainsi que le directeur de Wedge Group Incorporated, une société d’investissements internationaux basée à Houston. Celle-ci possède des intérêts dans les secteurs de l’immobilier, de l’industrie et des services pétroliers. Nijad Farès investit dans les secteurs public et privé. Sa philosophie est simple: faire des affaires dans le bon secteur; investir dans les sociétés et, aussi, dans les hommes. L’un de ses atouts majeurs est de ne pas être un investisseur traditionnel en termes d’échéancier ou d’horizon des placements. Il investit dans une perspective multigénérationnelle, plutôt que de respecter des objectifs trimestriels ou annuels.
Ces proches lui attribuent cette définition du leader: «Pour être un leader, vous devez être un contributeur, que ce soit en termes de temps, d’idées ou de financement.
Il y a toujours un besoin. C’est le rôle du leader de combler ce besoin».
Parallèlement à ses affaires privées, Nijad Farès a été le premier président de l’American Task Force for Lebanon, un think tank dédié aux problèmes du Liban d’après-guerre. Il a également servi comme administrateur d’un système public intégré de pension-retraite à Houston, gérant un portefeuille de plus de 2 milliards de dollars. En juin 2006, il a présidé le comité d’accueil du forum économique américano-arabe, qui avait réuni un millier d’hommes d’affaires, de représentants de gouvernements et d’académiciens.

 

Maalouf Ashford & Talbot. Primé pour la 10ème année consécutive
Maalouf Ashford & Talbot LLP, un cabinet international d’avocats a été désigné «cabinet d’avocats de l’année 2016» dans dix pays, en l’occurrence aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, au Brésil, en Arabie saoudite, en Chine, au Liban, en Egypte, au Qatar, à Bahreïn, et aux Emirats arabes unis et ce, dans 48 différents secteurs. Ce prix a été accordé à la firme pour la dixième année consécutive par The United States Lawyer Rankings, 2006-2016 Editions.
John J. Maalouf, le partenaire principal du cabinet, Américain d’origine libanaise, est reconnu pour son expertise dans les législations en vigueur dans les domaines de la finance et du commerce international, de la banque, des entreprises, des fusions et acquisitions, de la propriété intellectuelle, du pétrole et le gaz, et de l’arbitrage international. De plus, il s’est spécialisé dans la représentation d’entreprises multinationales opérant dans les secteurs des médias, des télécoms, de la technologie et de la pharmacologie. John J. Maalouf est aussi un arbitre international affilié à la London Court of International Arbitration et membre exécutif du Conseil du pétrole (Oil Council), une organisation internationale qui s’occupe de la progression de l’industrie pétrolière dans le monde.

 

Energie
Appel à contribution des expatriés

Le président de l’Association des hommes d’affaires dans le monde, Fouad Zmokhol, a appelé «les expatriés libanais à placer une partie de leurs investissements directs étrangers dans le secteur de l’énergie, dans l’espoir de créer un partenariat avec le secteur public pour la restructuration de l’EDL». Aussi la participation du secteur privé incluant les expatriés serait-elle souhaitée au niveau de la construction d’une infrastructure appropriée pour la production d’énergie renouvelable à travers les éoliennes ou les parcs de panneaux photovoltaïques.

 

Liliane Mokbel

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