Des sources diplomatiques françaises se disent pessimistes quant à l’étape actuelle au Liban. Elles mettent en doute la capacité des divers acteurs politiques libanais à s’accorder pour former un nouveau gouvernement et prédisent la persistance du statu quo actuel. Si jamais cette thèse se confirme, le pays se trouvera dans une situation de grande instabilité, surtout que le divorce est consacré entre les centristes, représentés par le président Michel Sleiman et le député Walid Joumblatt, avec la coalition du 8 mars.